la clarté, Ade.

Altagame était un forgeron, sa femme, Filihicia, une couturière du Roi, tout deux vivaient en plaisance dans les vastes pleines de Lakirus. Je naquis il y a de cela pas mal d'années après la guerre contre le mal, suite à cette attaque ma mère Filihicia pria à mon père de m'apprendre tout ce qu'il savait et connaissait du côté de la magie de peur qu'une bataille comme celle-ci ne refasse apparition.
Il l'écouta, songeant lui aussi que la bonne solution était là, Altagame était un bon enseignant de guerre même si pour cette éducation, il dut mettre fin à son travail. Et donc, chasser pour nourrir la famille.

Un soir de pleine lune, alors que je m'entraînais aux côtés de mon père à refroidir quelques mauvais loups sauvages, il fut avertit par Lotik, un ancien compagnon ouvrier, qu'un rôdeur traînait aux environs de la maison où nous vivions.
Soudainement une peur lui traversa l'esprit... Il me prit brusquement par le bras et couru en direction du village de Lakirus, plus précisément, vers notre demeure. Moi je ne comprenais pas ce qui était en train de se produire.

Arrivé à quelques pas de notre domicile, on entendait des cris, je reconnus les cris de ma mère, et prit peur moi aussi.
Mon père entra violemment dans sa propriété et moi je restais dehors pris de torpeur, un sentiment de voir apparaître quelque chose d'atroce. Quelques minutes plus tard, j'entra à mon tour alors que le bruit était calmé.
Je vis sur notre vieille table, du sang ! Beaucoup de sang ! L’angoisse refit surface. Mon père me prit dans ses bras et je vis ma mère ; ceci fit baisser mon affolement.
J'appris quelques instants plus tard qu'un individu était entré dans ma maison, armé, afin probablement d'aggravée ma mère et que mon père en voyant ce dernier, n'ut point d'autres choix d'en finir avec cet homme avec son glaive.

Ma mère restait continuellement sous le choc, elle serrait les mains d'Altagame fortement.

Le lendemain, mon père, avec l'aide du bon ami décida de mettre le corps en forêt afin que les bètes le fissent disparaître.
La vie continua son court...


Un matin de bonheur, mon père me réveilla sans trop vouloir me brusquer pour poursuivre mon entraînement, selon lui ; il ne fallait pas en rester là. Je lui obéis comme toujours. Il avait désormais choisis de m'exercer le matin depuis l'incident.
Arrivé à l'endroit où nous avions l'habitude de nous exercer, des bruits se firent entendre, des bruits pas assez précis pour deviner à quel animal nous allions nous mesurer.

Brutalement ! Je vis un homme masqué sortir d'un fourré ! Puis, un autre ! Et un autre ! Et encore un ! Ils devaient être une dizaine tous à s'être jetaient sur mon père qui, auparavant, m'avait poussé, immédiatement après avoir aperçu le premier homme, j'étais désormais caché dans un buisson, et je ne bougeais plus, pris de peur. Un des hommes sortit une large épée tranchante; et, d'un coup de poignet laissa tomber la tête de mon père sous mes yeux.
Je ne puis m'empêcher de larmoyer. J'attendis, caché dans le buisson, devant le cadavre de mon paternel, que les hostilités s’enfuit.
Un fois parti, je couru du plus vite possible, toujours les larmes voletaient sur mon visage. Arrivé au village, je couru avertir ma mère, qui, elle aussi, fondit en larmes. Elle ne pouvait plus bouger. Je suis donc aller chercher secours dans le village, aux amis.

La nouvelle se répandit vite jusqu'aux oreilles de notre roi, un de ces plus Grands ménestrels, Orifon, me prit sous son aile, j'étais soit disant en danger.
Ce n'est que quelques temps plus tard que j'appris que l'homme abattu par mon père était un ami des assassins.
Sans doutes avaient-ils trouvé le cadavre de leur pitoyable ami dans la forêt.
Depuis, les vallées de Lakirus, ma bien aimée citée d'enfance, sont protégées par un copieux nombre de guerriers et mages Bons.
Moi je vis à présent seul, et me procure de temps à autres des nouvelles de ma mère et d'Orifon qui résident maintenant ensemble.

Arrivé à l'age mature, Ade avait rassemblé ses affaires et se tenait à la porte de la forteresse..... Il fit ses Adieux à sa création et prit la route de Kalandre.

Suite à une bonne nuit de sommeil, le magicien commença ses recherches : le but de sa venue en ce haut lieu des Terres de combats, trouver une famille, un sanctuaire, un arche de Noé capable de l'empêcher de sombrer comme une pierre. Il trouva beaucoup de monde sur la place principale et remarqua qu'un coin était remplit de papiers. Curieux de nature, il alla voir toutes ces affiches et en lut quelques unes. Etonné de la réputation d'un clan nommé «La Cité Blanche », il sortit sa plume pour commencer lui aussi à rédiger sa demande....Au bout de quelques temps, il plaça son parchemin parmi tant d'autres......

/hrp Voilà, j'éspère simplement que ma candidature parviendra à vous convaincre, je suis hyper motivé, pour le bien évidemment et je rafole de Rp.

Me voila à nouveau perdu dans cette vaste citée ... Quelle galére ! je m'y retrouve plus ! ... J'éssaye toutes les portes possible, mais je tombe sur des placards ou des chambres, cette citadelle a un seul défaut ... il manque des panneaux !

Une nouvelle porte s'offre a moi, et il y a de la lumiére, serais-ce la sortit ? Je rentre et tombe nez a nez avec plusieurs personnes, tout celà me parait bizarre, mon regard fuse à tous les recoins de la piéce, mes yeux s'arrête sur le tas de feuille, sans gêne, je m'en approche et aggripe une feuille, je survole les quelques lignes et ainsi je compris que j'étais dans la salle de recrutement, intéressant sa.

Je m'approche de Ade et lui dis.

-Bien le bonjour *Regarde la fiche qu'il a prit* Tu dois être Ade, si je me trompe pas, je me nomme Goku, noble et jeune chevalier de cette cité *Repose sur le tas, la feuille* Bien bien, je voudrais savoir, Quelles sont tes motivations ? Et pourquoi avoir choisi l'Ordre ?

J'attendis la réponse du mage, qui, pourtant, me semble motivé et énergique.

M'approchant du jeune chevalier, je contemplais la fière allure de ce dénommé Goku.
Après de brèfs instant, j'aperçu enfin l'honorable visage du noble.. je répondis:

Votre clan porte une réputation importante, et il est vrai que faire parti d'un clan renommé serait vraiment un immense plaisir. De plus, ce clan est pour le bien, tout comme moi, qui me suis juré de le servir.
J'ai aussi eu le temps de parcourir les différents messages et dois avouer que l'ambiance y est particulièrement attirante !
Pour ma part, je suis principalement pour l'entre-aide, j'aime aider les autres et j'apprécie en retour me faire aider, j'adore également combattre des monstres en compagnie d'autres guerriers ou mages (qu'ils soient amis ou inconuus).

J'ecoute attentivement les paroles du mage, tout sembler parfait, mais il manque une chose, j'enléve ma toge noir et mon armure laissant apparaitre mes ailes rouge et une grosse cicatrice au milieu de la poitrine, je le regarde et lui dit.

-Sera-tu nous protége au péril de ta vie ? Est-tu prét à sacrifier tout pour nous ? l'Ordre a une puissance militaire hors du commun, les guerres seront fréquente, le sang coulera, peut-être se sera le tien ou le mien, malgré tout sa, est-tu prét a t'engager ?

Le chevalier disait vrai, je ne prenais pas encore conscience des dangers que pouvait causer une guerre entre les différentes confréries, je n'évaluais pas la sensation de mourrir ou de voir mourrir des proches. Tout en admirant ces gigantesques ailes qui atteignaient une certaine hauteur, je prononça :

Il est vrai que les périls seront peut-être nombreux mais oui, je suis sûr maintenant que je serais entièrement capable de me sacrifier s'il le faut, afin de vous protéger. En effet peut-être mon sang coulera t-il, j'accepterais volontiers de mourrir pour une fière bataille ou en affranchissant un acte de bravoure immense.

Je suis prêt à m'engager auprès de vous et je jure de servir ce clan, dans toutes conditions; même si pour cela je dois périr.

Je baissa les yeux au sol, un silence embarassant prit place dans cette salle.

Je le vois, perdu face a mes questions, mais malgré les dangers, il est prét a faire face, toujours torse nu je pose ma main sur son épaule et lui dit.

-Bien, c'est tout se que je voulais entendre, mais ne t'inquiéte pas, tu ne sera pas seul * Se mit a sourire* Si toute fois tu est accépter ! Mais sache que tu as déjà l'ésprit de l'Ordre, et sa, c'est déjà beaucoup.