Une rencontre imprévue ... [Rp : Concours]

Full Constitution, Ragnarok !


Chapitre I : Un rêve ?

Un journée bien radieuse que celle d'aujourd'hui, je vois le ciel du haut d'une des tours de la citadelle, avec un regard pensif et voyageur, le soleil est à son zénith, aucun nuage ne lui barre la route, tout semble si paisible, le calme et le silence, une havre de paix envahie Le Sainte Citadelle, mais pour que cette paix soit a jamais, je me dois de progressé, de pouvoir protégé chacune des personnes qui y habite à présent, l'heure n'est pas au repos.

Je sors de la cité, prêt a affronter une multitude de danger, le désert de Railtwall s'ouvre à moi, après quelques minutes de marche, je tombe sur un campement de Beline, des monstres a apparence humaine mais au cœur sombre, armé de bouclier gigantesque et de fine lame, deux d'autre eux se rue sur moi, je sors mon épée donné par Amras ainsi que la hache que j'ai dans le dos, les deux créatures ne sont plus très loin, j'en découpe un avec ma hache longue et tente de paré la charge de l'autre mais en vain, impossible de d'éviter le gros bouclier, l'impact est telle qu'il me projette sur plusieurs mètres, j'atterris dans le sable fin, la rage s'empare de moi, je sert ma lame jusqu'au sang et court vers le Beline qui se faisait une joie de m'avoir bousculé, je lui saute dessus et le découpe de haut en bas, laissant du sang noir absorbé par le sable, me voici de nouveau normal.

Je m'aventure a l'est de la citadelle, je marche dans le sable, le ciel commence a se noircir, une petite pluie venue de la plaine de Sécotis s'en doute, mais le tonnerre gronde, les éclaires tombe, je relâche un instant ma garde et je me retrouve parterre, des monstres tapis dans le sable m'avais agrippé les pieds, trois d'autre eux sortent de dessous du sable, ils avaient aussi l'apparence humaine, mais ceux ont l'air plus dangereux que les Belines, je ne sais plus quoi faire, la peur monte, les monstres s'approchent à pas lents, avant qu'ils ne fassent quoi que se soit, je m'évanouie dans le sable.

Le noir, le noir m'envahit, il fait froid, je ferme les yeux, je les rouvres, je suis dans la cité, celle que nous avons construite dans le désert, mais la cité est déserte, je m'avance vers le château, marche a travers les couloirs vide et inanimé, j'arrive prét du trône, je vois l'Empereur, couvert de sang, a la vue de se drame, mon coeur s'arrête, les yeux se noie dans un torrent de larme, je n'est pas pu protégé, je suis faible, mes jambes tremble, mes yeux se trouble, je tombe a genoux, lève la tête et cris, cris le plus fort possible, toute ma haine, ma colère, mes souffrance s'échappe dans cette hurlement grinçant, ma tête me fait mal, je ne sais plus où j'en suis ... Je ...

Chapitre II : L'ermite nain, Limeti.

Je me réveille en sursaut, un rêve ? Je me retrouve allongé sur une palliasse, toujours couché, je regarde autour de moi, De la pierre vouté, apparemment, je suis dans une grotte, que fais-je ici ? Et où sont passé les monstres qui m'ont attaquer ? J'essaye de me relever mais en vain, je touche mon torse, un bandage l'enveloppe, soudain une voix m'interpèle, une voix assez grave et roc.

-Ne bouge pas trop mon petit, je suis arrivé un peu tard pour te sauver ...

Me sauver ? Je m'élève sur le coude pour voir qui ma sauver, j'aperçois un nain avec un marteau, je le vois de dos, je prend la parole.

-Qui êtes vous ? Et où suis je ?

Il se retourne vers moi et me dis.

-Je suis l'ermite nain, Limeti, nous somme dans les montagnes de Psymon, a l'est du désert de Railtwall, tu est ici car tu t'es fais attaquer par des Andrigos, ils sont très dangereux ! Tu as de la chance que je sois venu ici par hasard ! Sinon, tu ne serais plus sur ces terres ... Mais dit moi, Pourquoi est-ce que tu t'es aventurer dans les fins fonds du désert ?

Un peu gêner qu'il m'est sauver, je lui répond.

-Je ... Je souhaite devenir plus fort !
-Ho ? Et pourquoi sa ?
-Pour protégé les personnes qui me sont chére !

A mes paroles, le nain se sent nostalgique,Je le regarde d'un air étrange et lui dis.

-Hé bien ? Que se passe-t-il Limeti ? Tu fais une drôle de tête.

Le nain me regarde, l'air confus, il rougit et se gratte le derrière de la tête

-Excuse moi, j'étais perdu dans mes pensées, mais repose toi, plus tard, je te montrerais quelque chose.

Quelques heure plus tard, je me lève, difficilement, une fois debout, je titube vers la sortit, à chaque pas, j'entends des bruits
de fers battu, je m'arrête et aperçois une pièce immense, une énorme cheminé, allumé, Limeti est juste devant une enclume
entrain de battre le fers d'une épée, je m'approche vers lui.

-Que fait-tu, Limeti ?

Il s'arrête de battre la lame de l'épée, la regarde de plus prés et la jette sur un tas d'épée au fond de la grotte, Je le regarde d'un air surpris et lui dis.

-Que se passe-t-il ?
-Je recherche la perfection.
-La perfection ? Mais pourquoi ?

Limeti lève la tête, son air de nouveau devenue nostalgique, il me dit.

-Est ce qu'on tu as, un jour, entendut parler de la guerre qui imposais, même maintenant, le sois disant bien, contre le mal ?
-Heu ... On m'en a vaguement parler oui.
-C'était pendant la guerre ...

Chapitre III : Un lourd passé.

Nous sommes à présent quelque semaine avant la guerre, Limeti est un peu plus jeune et la paix règne en maitre, mais cela cache une terrible bataille.

La plaine de Sécotis, là où se situe la ville natale de Limeti, mais les gardes raflent toute personnes capable de se battre, laissant femme, enfants, vieillard et malade dans leur village, Limeti a était amener de force, dans une carriole miteuse. Le nain broyait du noir sur la route du camp d'entrainement, il n'était pas le seul ... De nombreuses personnes étaient entassé, venant de tout coin de la terre de Kedok.

Les convois transportant les futures guerriers, est arrivés à destinations, on les dirigent à présents voir se qui ressemble a des dortoirs, deux par chambres, chacun déballent ces affaires, du moins, se qu'ils ont eux le temps d'amener, Limeti avait pour colocataire, Gisard, un humain venant des montagnes de Chikwoll, Limeti était assez septique de partager sa chambre avec un humain.

Les jours passent, les entrainements se font plus dur, mais les liens se resserrent entre les futurs soldats, Limeti et Gisard deviennent proche.

Gisard fut soudain pris d'un sentiment de nostalgie , Limeti le voyant ainsi se dirigea vers lui.
-Hé bien Gisard, que se passe-t-il ? Je ne te sens pas comme à ton habitude, quelle que chose te tracasse ?
-Hum ... Désoler ! J'étais entrain de penser à ma famille, à ma ville ... Touts cela me manque horriblement.

Limeti savait se qu'il ressentait, Gisard regarda le ciel, la mélancolie c'est emparée de lui ...

-Sais-tu pourquoi je me suis engagé ?
-Hé bien, comme nous tous je pense, tu a été forcer a rejoindre les rangs.
-Figure toi que non.

Limeti le regarde, d'un air surpris et lui dit.

-C'est toi qui t'es engagé ? Mais quelles sont tes raisons pour avoir fait une chose pareille ?
-L'avenir ...
-L'avenir ? Mais pourquoi ? Je ne te comprends pas, risquer ta vie pour cette stupide guerre ...
-Ma femme attend des jumeaux dans quelques mois seulement, et je voudrais qu'ils voient une terre sans conflit ...
-Mais tu risque de ne pas les voir un jours tes enfants, tu en est conscient ?
-Oui, je le suis, mais ne t'inquiète pas, je ne mourrais pas aussi facilement.

Dit-il en souriant, Limeti voudrait le croire ...

Chapitre IV : L'attaque.

Deux jours plus tard, en pleine nuit ... Un garde complètement affolé crie dans touts les couloirs du camps.

-Alerte ! Alerte ! Une troupe de monstre arrive !

Les occupants de la caserne se lèvent en quatrième vitesse et se dirige, au pas de course, à l'armurerie, où on prose des épée en bonne état, mais des armures complètement rouillaient, on nous as toujours appris que la meilleur défense c'est l'attaque, Limeti et Gisard enfile leur armure et partent en direction de la porte principal, les combats faisaient rage, les boules de feu fusaient dans le ciel, tombant au hasard sur le seul, les gerbes d'étincelles éclairaient les murs de la caserne qui commençait a prendre petit à petit feu ... Les pertes des soldats grimpaient à vue d'œil, Limeti et Gisard, ensemble, combattaient, les coups d'épée s'enchainent à vive allure, esquivant toutes les attaques possibles, mais ils restèrent l'un à coté de l'autre, pendant un bref moment, ils se mirent dos à dos, essayant de reprendre leurs souffles.

-Alors, Gisard ... Fatiguer ?
-Moi ? Tu rêve ...

Dit-ils en souriant tout le deux ... Le combat repris, les cadavres des monstres s'accumulent ... Limeti, tua un monstres d'un seul coups d'épée, en la plantant dans le thorax, mais il ne réussit pas a l'enlever, un autre monstre juste derrière lui était prêt à pourfendre le nain, Gisard, dans un ultime cri de désespoir, cria son nom, et avec une rapidité incroyable, il s'interposat entre l'épée et son amis ... Mais l'armure se brisa et entailla le torse de Gisard, le faisant tomber à la renverse, inconscient ... Limeti, dans une rage terrible, prit l'épée de son compagnons et trancha la tête de la créature ... Limeti se metta à genoux, prêt de Gisard ...

-Gisard ! Tiens bon ! Gisard !!

La caserne est complètement en feu, un garde avec une corne de brume sonne la retraite ... Il y a plus rien faire ici, Limeti, malgré sa petit taille il réussit à le mettre sur son dos et commence à courir dans le bois voisin ... Après une cavalcade d'une demie heure, Limeti atteint une clairière illuminé par la pleine lune, il le mis dos contre un arbre ...

-Gisard ! Reprend toi !

Gisard leva un œil, la blessure saignait abondamment, il prit la main de son amis, et lui dis.

-Limeti ... mon amis ... tu vas bien ?
-Ne pense pas à moi ! Regarde toi, tu est en piteuse état !

Gisard toucha sa plaie, et regarde le sang que s'échappe ...

-Je ... Je sens ... Plus rien ... J'ai ... Froid ... Je ...

La lueur dans ces yeux commence à disparaître, la force de sa main diminue, Limite le regarde partir, impuissant, la pou de
Gisard est maintenant inexistant ... son esprit s'en est aller ... Il reste le corps sans âme, baignant dans une marre de sang ... Limeti balança des pourquoi en l'air, des cris de rage se firent entendre au alentour

Une fois calmer, Limeti prit le corps ensanglantait de son frére d'arme, le déposa dans un trou de fortune, mais avant, il enleva l'armure briser dans ces mains ...

-La meilleur défense c'est l'attaque ? ... Je n'y crois pas !!

Il jeta avec violence et mépris, le reste de l'armure par terre, elle se cassa au choc ...

-Les humains sont vraiment idiot !

Chapitre V : L'aide de l'ange.

J'ai écouté l'histoire de l'ermite, essayant de na pas en perdre un bout.

-Et c'est à ce jours, que je me suis consacré à la fabrication de vêtement robuste ! Je touche presque au but !

Il me regarde, et me dit

-Est ce que ta sable du désert sur toi ? J'ai utilisé celui qui me restais dans l'ancienne fabrication, celle que j'ai loupé.

Je le regarde à mon tour et fouille dans mes poches ... remplie de sable ...

-Ta de la chance, j'en est plein les poches, sans doute quand je suis tombé dans le désert
-Parfait, donne moi tout se que tu as !

Je lui donne le sable que j'ai dans ma toge, il regarde dans ses différents matériaux, il semble assez inquiet ...

-Aie, aie, il me manque beaucoup de matériaux ... j'aurais besoin de ton aide demain, je pense que tu iras mieux d'ici là
-Si ça peux payer la dette que j'ai envers vous, alors demain, je vous aiderais.

Après une bonne nuit de sommeil, sur une paillasse, les différentes égratignures ne sont déjà plus. Je me lève puis part rencontrer le nain, qui toujours dans son atelier martèle violemment le fer, je me dirige alors vers lui et lui adresse quelques mots:

-Bonjour Limeti, alors de quoi avez-vous besoin ?
-Tiens, déjà debout ! Tant mieux, tout d’abords, j'ai besoin d'eau, d'eau avec beaucoup de minéraux ! Tu iras donc en chercher aux sources. Par la suite, il me faudra du bois pour alimenter mon fourneau ! Mais pas n'importe qu'elle bois ! Celui de la foret Quadiv, mais tu devras évidemment faire attention aux ogres qui traînent dans le coin, pour le reste, je m'en charge ! Tiens voilà un sac pour mettre le bois, et une grosse gourde pour mettre l'eau, Bonne chance !

Je dévoile alors mes ailes rouge et pars en direction du bois muni de ma hache, une fois arrivé a la lisière, je m'occupe d'un arbre, m'acharnant dessus, et le fait tomber. Puis, je le découpe en plusieurs morceaux, les restes, je les fais brûler avec soins, rendant ainsi, le sol fertile.

Après avoir récolté le bois, je pars vers les sources, pour arriver là-bas, je survole la citadelle, en espérant qu'ils ne se fassent pas de soucis à mon sujet. Je traverse une portion de la plaine de Sécotis, j'atterris ensuite au bord et prends de l'eau. Ceci fait, je me dépêche de revenir dans la caverne de l'ermite nain Limeti ... Il semble avoir récolté du fer et d’autres minéraux pour la fabrication des vêtements. Limeti me remercie d'avoir fait si vite, il se mit au travail, je le regarde alors qu’il manie les différents éléments avec finesse et délicatesse. Cette fois-ci, il réussit. Tant de dur labeur et de temps passé, tous ces efforts ont enfin porté fruits, ces vêtements sont à présent aussi solide que le roc. Il le nomma les vêtements du Ragnarok !