La transformation [Colimero / Goku / Sôbi]

Cela fessait maintenant quelques jours que Colimero était rentré de sa semaine de servitude dans les rangs du Chaos. Elle était très heureuse d’avoir retrouvé sa famille.

Un soir, elle avait décidé d’aller se promener dans la forêt avoisinant la cité. Il fessait encore chaud, l’air était lourd, il y avait un léger vent. C’était le genre de temps qu’elle aimait beaucoup pour sortir. Elle était bien et laissait ses pas la guidée. De nombreuses fleures parsemées les côtés du chemin qu’elle empruntait. Quelques oiseaux discutaient entre eux.

Soudain deux lièvres apparaissent devant elle. Un instant où tous trois semble figés de surprise, puis les deux lièvres se mettent a décampé a toute vitesse, Colimero les regarde s’enfonçaient dans la forêt. Il commence à faire très sombre d’un coup. Peut être a cause d’un nuage et puis la nuit n’est plus si loin maintenant. Elle c’était enfoncée assez profondément dans la forêt sans sans être rendu compte. Elle décide donc de faire demi tour, quand une énorme rafale de vent arrive sur elle, elle se retourne par évité de ce prendre des poussières dans les yeux le temps que cela passe. Une fois retourné, le vent cesse. Elle se dit que tout cela n’est qu’une coïncidence et elle reprend le chemin du retour. Le vent recommence a soufflé, elle décide de le braver, mettant ses bras devant elle pour pouvoir ouvrir les yeux, mais le vent souffle beaucoup trop fort pour qu’elle puisse rivaliser. Elle décide de se retourné face au cœur de la forêt, sentant le vent dans son dos faiblir jusqu'à ne plus existé. Maintenant plus aucune coïncidence n’est possible, soit la forêt est vivante et l’empêche de partir, soit quelqu’un veut qu’elle se dirige au cœur de la forêt. Elle sait qu’elle n’as pas d’autre choix. Si elle essaye de retourné a la cité, le vent la bloquera; si elle quitte le chemin, elle finira par ce perdre; si elle va dans le cœur de la forêt, là ou les arbres se font si dense qu’on se croyait toujours en pleine nuit, là où l’on raconte que les plus terribles bêtes ce cachent et où la mort rode ; que lui arrivera t-il ?

Elle avançait donc en direction du cœur de la forêt, à chaque pas l’air se fessait plus pesant et froid, le chemin plus petit, les arbres semblait se rapproché d’elle, et sa peur monté. Elle savait que quelque chose l’attendais au bout de se chemin. Elle avancé de plus en plus lentement ayant a chaque pas plus peur et son imagination inventé un nombre incalculables de possibilité de ce qu’elle trouverait. Elle entendit un craquement, quoi de plus normal dans uns forêt, c’était surement un animal. Mais elle se fit a cette instant une réflexion qui la glaça : cela faisait longtemps qu’elle marchait mais a présent elle n’entendait plus aucun oiseaux …
Elle n’aurait pas sus dire depuis combien de temps elle ne les entendait plus mais autours d’elle a présent un silence effroyable régnait. Lutant tant bien que mal, contre ces peurs elle avançait de plus en plus vite, elle en était presque arrivais à courir. Elle jeta un furtif regard derrière elle et en remettant son regard sur le chemin …. Elle trouva une immense clairière.

Il fessait beaucoup plus claire qu’elle ne l’aurait cru, la lune était presque pleine et le ciel totalement dégagé. Son rythme cardiaque accéléré par sa course se stabilisé, sa respiration aussi. Elle avança prudemment vers le centre de la clairière. Regardant a droite, a gauche, sentant une présence qu’elle n’aurait pas du sentir. Sentant ce dont elle avait peur depuis le début sans jamais, même maintenant, savoir ce que c’était. Alors qu’il fessait assez bon, l’air ce glaça d’un coup. Elle replia ces bras sur elle-même, maintenant au centre de la clairière. Elle entendit un bruit a sa droite, cru voir quelque chose, ça ce déplace derrière elle pour finir à sa gauche, ça bouge, elle se tourne pour voir, ça s’arrête, ça repart dans l’autre sens, elle a peur de plus en plus, ça bouge, encore, ça se rapproche, ça s’éloigne, a droite, devant, a gauche …..Ça se stop. Elle a vraiment peur maintenant, ça arrive, encore quelques pas et elle le verra, ça arrive de l’endroit opposé a son entrée dans la clairière….

Elle vu un homme, grand, avec une forte musculature et un mot : massif. Pas que quoi avoir peur mais son grand sourire n’était pas un bon présage. Elle se retourna et couru vers la sortie de la clairière qui était dans la direction de la cité. Elle s’efforçait d’oublié sa peur pour courir plus vite. Il surgit juste devant elle, elle s’efforça de se stopper, mais la surprise et la vitesse la firent s’arrêté a quelques mètres de lui. D’ici elle voyait un visage totalement pale, et cela n’était pas juste l’effet de la lumière de la lune, il était sinon quel conque, a part sa bouche. Il souriait ce qui dévoilait des dents blanches, mais surtout de canines prodigieusement longue pour un simple humain. De plus le fait qu’il ait put se déplacé aussi vite, alors que la distance qu’il avait parcouru était deux fois plus grande que celle qu’elle avait parcouru, le rendait encore moins humain. Elle savait qu’elle était en dangers mais pas a quel point. Elle rassembla le reste de courage qui lui restait et arrivé a prononcé presque normalement :

- Qui êtes vous ?
- Qui je suis ? Mais on s’en moque bien ma jolie ! Tout ce que tu as besoin de savoir c’est que courir ne te serviras a rien.

Pendant qu’il disait cela il avancé vers elle.

- Qu'est ce que vous êtes ? Et que me voulez vous ?
- Ho tu n’es pas aussi bête que tu n’en a l’aire, tu as remarqué que je n’étais pas humain. Je suis un vampire et je compte bien te le faire devenir également et par la suite m’amusez avec toi mais pour sa, nous avons toute la nuit devant nous. Hum … ton sang doit être si sucré, si chaud, je m’en délecte à l’avance ….

Elle était terrifiée mais voulant sauver sa vie, elle courut désespérément vers une autre sortie de la clairière. Elle entendit derrière elle une vague : « Pourquoi cours-tu ? ». Elle sentie une main sur sa hanche ainsi qu’une autre le long de son cou. Elle s’arrêta net en manquant de s’étranglée. Elle entendit sa cinglante voix lui glissé au cœur de l’oreille :

- Tu vois ce n’était vraiment pas la peine de courir maintenant tu es toute essoufflée je prendrais beaucoup moins longtemps de plaisir qu’elle dommage.

Elle était maintenant au bord des larmes, et ne savait pas encore se que se monstre lui réservé. Elle senti son souffle dans son cou, elle ne voulait pas pleurer et lui montré sa faiblesse, la langue du vampire léchant son cou, se mordant la lèvre pour ne pas hurler, ses crocs s’enfonçant lentement dans la moelleuse chaire de la jeune femme, se maudissant de ne pas être de taille face a se monstre, hurlant de douleur, fessant glissé sa main de monstres vers sa poitrine, espérant que quelqu’un vienne a son secours ….

La nuit est calme et paisible, le ciel est étoilé comme jamais ... Allonger, sur l'une des tours de la citadelle, je regarde les cieux, peut-être que dieu est entrain de me regarde, qui sait ? L'air est si frais là-haut, pourquoi avoir une chambre ? Je me sens si libre ici, pas de mur, juste un plafond cloué d'étoile qui brillent, la lune me servant de lumière ... Le vent souffle dans mes ailes les faisant sifflées, mais, bizarrement, cette brise qui m'embaume, n'est pas naturel, celle-ci est artificiel ... Crée par la magie, je me lève et regarde l'horizon, je ressent une aura meurtrière, venant d'un chemin, les arbres bougent beaucoup à cette endroit, cela me semble bizarre, l'instant d'après, je m'envole vers cette direction, le vent se fait de plus en plus fort, réduisant ma stabilité, je décide de me posé avant qu'il n'arrive malheur et que je tombe, une fois au sol, tant bien que mal, je m'avance dans le tempête, rempliant mes ailes ... Les arbres se font sombre, et se rapproche, jusqu'à une grande clairière, j'entends de drôle de bruit qui provienne de derrière moi.

-Encore un, nous avons de la chance ...

Je me retourne doucement, dégaine mon épée, et la pointe vers les buissons ...

-Qui êtes vous ?
-Nous ? Hé hé

Des ombres sortent du buissons pour attirent derrière moi, je me retourne d'un pas bref, dans un nuage de poussière, quatre personnes juste devant moi, me regardant avec un sourire peu commun, ainsi que leur canine plus longue que la normal.

-Vampires ? Hum, quelque rare personne, alors ...

Les vampires regardent mes ailes rouge ...

-Ange rouge ? Unique cas qu'on est vu jusqu'ici, Hé hé

Un des quatre se jette sur moi sans crier garde, lame toujours pointer, je lui plante mon épée dans le cœur, il disparaît en poussière.

-Je vois qu'il ne faut pas qu'un pieux pour vous tuez

Dans un ultime acte de désespoir, ils se projettent tous sur moi, ensemble ... un des trois c'est fait empaler par ma lame, un autre, propulser a terre par un coups de pied, le dernier, je l'est pris par le visage.

-J'ai une question ... Tu as dit « Encore un », de qui veut-tu parler ?
-Une fille, hé hé, elle venait dans la même direction que la tienne ... elle avait l'air plutôt pas mal.

Le vampire que j'avais envoyer a terre se relève, avant qu'il n'eut faire quoi que soit, je lui introduis mon épée en plein cœur.

-Où elle se trouve !?
-Mon chef est partit avec elle, mais je pense qu'il va faire autre chose que boire son sang Hé hé.

Je le lâche et lui tranche le cœur, les secondes suivante, un cri strident surgit d'entre les arbres, je dirige vers se hurlement, et là, je trouve, Colimero et un autre vampire qui est entrain de lui sucer le sang, prit d'une colère incontrôlé, je me jette sur le vampire et le lance contre un arbre, ma colère est telle, que mes yeux deviennent rouge feu, je tiens Colimero dans mes bras, épée à terre, je le regarde.

-Qu'est ce que tu as fait ?!!

Un rire machiavélique sortis du vampire.

-Ce que je lui ai fait ! Haha je l'ai fait devenir une des nôtres !
Pour le moment ça ne se voit pas mais dans quelques jours quand tu te retrouveras égorgée par la demoiselle qui avait soif de sang que feras tu ? Tu vas la garder avec toi ? Comment feras tu quand elle te supplieras de l'achevez de douleur ?

Ma colère se transforme en haine, j'enlève ma toge, la dépose par terre tout en restant le plus calme possible, j'allonge délicatement Colimero sur ma toge et regarde le vampire qui se dresse a présent devant moi.

-Qu'est ce que je ferais me dis-tu ? Je souris légèrement Tu ose me demander sa ? Je resterais avec elle jusqu'au bout !

Je prends mon épée qui est à terre et la pointe dangereusement vers le vampire.

-Par contre, toi, tu vas périr ...

Je le charge, propulser par mes ailes, je lui porte un coups vertical avec le plat de mon épée, le vampire prend le coups de plein fouet dans les cotes, je l'envoie voler sur plusieurs mètres, il se relève et se dirige en courant armé d'un fleuret, les coups de fer s'enchainent à une allure phénoménal, un humain ne pourrait percevoir que la moiter des attaques, le combat s'éternise, ma rage s'intensifie, mes coups sont de plus en plus puissant, un contre fait déchanter mon adversaire une brèche se crée dans sa défense, je parviens à lui percer l'épaule avec ma lame, le choc de l'impact lui fait perdre l'équilibre et tombe sur le sol, j'enfonce mon épée de la terre, alors que son épaule est toujours embrochée, ne pouvant plus bouger, je le regarde droit dans le yeux.

-Que les cieux te guide, la lumière sera ton sanctuaire à présent.

Une lumière rouge apparaît sur la paume de ma main, je la lève et l'abat sur le cœur du vampire qui disparait en poussière, je reprends mon épée et la range dans son fourreau, je me dirige vers le coprs de Colimero qui semble être encore sous le choc du changement, le plus dur, sa va être les prochains jours, quand sa soif va apparaître, je prend Colimero dans mes bras et l'amène dans la cité blanche a l'abri des regards, je ne veux pas que des rumeur naissent à l'intérieur de la citadelle, pas temps qu'on trouvera une solution.

Arriver dans la citadelle, je l'amène dans ma chambre et la dépose sur mon lit, j'arrache une de mes plumes de force, j'essaye de ne pas hurler de douleur, il est très tard maintenant, j'enfile la plume rouge dans ces cheveux, paraît-il, sa calme les esprits, conte ou légende, mais sa vaut le coups d'essayer, je m'assoie par terre juste devant la porte en attendant qu'elle se réveille.

J’avais fait un drôle de rêve. J’avais vraiment fait un drôle de rêve. J’étais dans une forêt et un vampire buvait mon sang, puis Goku venait me sauvée. C’était vraiment un drôle de rêve…

J’ouvre les yeux, étonnée que le soleil ais déjà dépassé le zénith, étire mes bras, et sent une atroce douleur dans mon cou. Je replis immédiatement les bras et met une main sur l’endroit ou j’ai mal. Je ne sens pas ma peau mais un bout de tissus enroulé autours de mon cou. C’est a cet instant seulement que je prends conscience que je ne suis pas dans ma chambre, a cet instant que je remarque que Goku est assis par terre dos contre la porte en train de dormir, a cet instant elle réalise que ce n’était pas du tout un rêve.
Elle regarda ces mains un peu affolée, mais elle n’y vit aucun changement ; a part peut être une couleur un peu pale, mais celle-ci aurait très bien put être du au choc. Quelque chose lui chatouillé l’oreille. Elle passa la main dans ses cheveux et tira sur l’objet qui causait cette démangeaison. Elle se retrouva avec une plume rouge dans la main, un regard furtif en direction des ailes de Goku, elle savait que cette plume lui appartenait. Elle haussa les épaules, en se demandant pourquoi il l’avait mise là et la remis en place.

Elle regarda Goku, et se souvenu des dernières paroles de vampire alors qu’il l’avait posé sur sa toge ; et si il avait dit vraie, si elle lui fessait du mal involontairement … Il était dos a la porte mais estes pour que personne n’entre ou pour qu’elle ne puisse sortir ? Si pendant qu’elle était inconsciente il avait prévenue les autres ? Si il leur avait dit ce qu’elle était maintenant allait-il vouloir la gardé ou préparé t-il déjà sa pendaison ? Elle se leva, vacillât sur des jambes pas encore assez solides, et ouvrit la fenêtre pour sortir. Malheureusement pour elle la hauteur était impressionnante, même si elle avait l’habitude de sauté des remparts, ici la hauteur était double. De plus elle n’était pas en très bonne forme. Cependant elle se souvient de la considérable vitesse du vampire peut être qu’elle aussi aurait des sortes de pouvoir, alors sauté de cette hauteur ne serait pas un problème. Par contre il avait aussi dit que les changements prendrait plusieurs jours a s’éffectués. Elle voulait sauter mais n’était pas suicidaire pour autant. Elle réfléchi regardant toujours le sol a travers la fenêtre ouverte. Son évaluation des risques était beaucoup trop aléatoire. Elle risquait de se brisé si elle sautait mais comment réagirait-elle quand les siens la conduirons a l’échafaud ?

Le soleil c'est déjà lever, le combat avec le vampire m'a épuiser, je m'était endormit par maladresse, mais le réveille fût rapide, je vois Colimero regardant le sol par la fenêtre, je me lève, va derrière elle sans faire de bruit et l'enlace doucement.

-Que compte-tu faire ?

Je sais se qu'elle ressent, je déjà connu se sentiment de se sentir différent, j'essaye de la rassurer.

-Que tu sois humaine ou vampire, tu reste la Colimero que j'ai connu ... Mais ne t'inquiéte pas, je n'es rien dis aux autres, si tu le veux, je ne dirais rien ...

Elle sursauta quand il la prit dans ses bras, elle ne l’avait pas entendu arrivais. Je continuais de regardais a travers la fenêtre toujours ouverte, le regard éteins.

- Goku toi tu me comprends et je pense que tu n’auras jamais peur de moi mais … les autres… eux ils sont humains, je ne sais pas si ils comprendront …..

Elle avait peur de la réaction de ses amis, mais elle n’avait pas envie d’en parler.

- Je ne sais pas comment je vais réagir quand j’aurais faim ou ce qu’il va m’arrivée, on devrait se rendre a la bibliothèque mais je ne sais pas si c’est une bonne idée que j’y aille avec toi …si quelqu’un me vois …

-La question ne se pose même pas, je n'aurais jamais peur de toi, quoi qu'il arrive, je serais à tes cotés ...

J'enlève mes bras de sa taille, arrêtant cette instant magique et fait des va et viens dans la chambre, signe de réflexion.

-Moi non plus je ne sais pas grand chose sur les vampires, et je pense pas que la bibliothèque ai se genre de livre ...

Je m'arrête et la regarde.

... Mais sa vaut le coup d'essayer !

Je vois qu'elle tremble, elle se fait sans doute des idées si quelqu'un découvre la vérité, je la prends délicatement par les épaules et la fixe.

-Ne t'inquiète surtout pas, ton secret sera bien garder, évidemment, je vais y aller seul, peu de gens me poseront des questions si je trouve un livre sur les vampires.

Je m'apprête a sortir de ma chambre.

-Si quelqu'un toque, tu n'ouvre pas, évite de sauté par la fenêtre, c'est assez haut, je vais revenir vite, je te le promet.

J'ouvre la porte et par dans les couloirs, la laissant seul, en espérant que la transformation ne commence quand je suis partis ... Arrivée dans la bibliothèque, je suis impressionner par sa grandeur, si je ne trouve pas de livre sur les vampires, c'est qu'ils n'existent pas ... Je demande au bibliothécaire en chef un livre qui pourrait m'éclairer sur les transformations en vampires, il me conseille d'aller voir la section des contes et légende des terres de Versus.

Dans cette section je trouve divers livres, relatant histoire et légende antique, les guerres entre le bien et le mal, je cherche désespérément un livre sur les vampire, après mainte recherche, je tombe sur un livre racontant des histoires de vampire, mais cela n'est que fictif, sa ne coute rien d'essayer.

Je survole le livre à la recherche d'indice concernant une quelconque transformation, un passage de ce livre parle d'un homme qui se serait transformer, l'auteur cite une forte fièvre pouvant aller jusqu'à 47°, largement au-dessus du seuil absolu d'un humain, une grosse douleur au niveau de la morsure, et de la folie, des hallucination ... Un être mordu par un vampire à peu de chance de survie
mais cela est réel ou fictif ? Je continue mes recherches, essayant dans d'autre livres ...

Une chose en moi me perturber.
Il y avait des choses que je ne comprenais pas.
Je devais donc en savoir plus.
je pars donc en direction de la bibliothèque par le long couloir des dortoirs. Un odeur vient taquiner mon nez. Une odeur que je ne connaissais pas. J'ai que le cuisto avait encore brûler le déjeuner, J'ai donc poursuis mon chemin.
Une fois entré dans la grande bibliothèque, je vais vers le bibliothécaire et lui demande ou trouver un livre sur les transformations en montre ou animal.
Celui-ci me regarde bizarrement et désigne un ami, Goku, dans la salle.
Il me dit d'aller en sa direction et de lui demander s'il n'aurait pas vu un livre qui m'intéresserais.
Je fais donc ce qu'il me dit de faire et je vais à la rencontre de Goku.

Bonjour mon ami. Comment allez vous aujourd'hui ? Il est bien rare de vous trouvez dans une bibliothèque

IJe ricane et jette un regard sur le livre.
Il se souvenait l'avoir déjà lu grâce au style de l'écriture qu'était utiliser pour raconter l'histoire.

Une bien belle histoire.
L'avez vous lu en entier ?

Je réfléchis un petit moment et me vint une question plus sérieuse.

Excusez-moi, pourquoi lisez vous ce genre de livre ? Il y a très peu de vampire sur ces terres.
Me dites pas que ...

La rencontre avec Sôbi me fait fermé le livre que j'étais entrain de survolé, je me retourne brusquement vers lui, sa perspicacité m'étonnera toujours, d'un coup d'oeil, et il a déjà presque tout comprit, j'essaye de faire mine de rien,

-Que ... Que veux-tu dire par là ?

Je rigole et puis souris, un sourire très peu convaincant, il lit dans mes yeux mon malaise, je détourne le regard et remarque l'heure sur la pendule de la Bibliothèque.

-Ho ? Il est déjà si tard que sa ? J'ai des tonnes de chose à faire moi ! Bon aller, je te laisse !

Je prends le livre avec moi, puis commence à voler en direction de la sorti, je ne veux pas qu'il me suive, sinon, la vérité sera découverte, cela me plait guère de mentir, surtout à mes compagnons, je continue de voler jusqu'à la chambre, esquivant toute personne importante, j'arrive de ma chambre où Colimero était toujours là, regardant par la fenêtre, un soupir sorti de ma bouche, la peur que la transformation avait commencer s'envole, mais le pire reste à venir ...

Le départ de Goku était long pour Colimero restée seule dans la chambre. Elle scrutait l'horizon avec obstination. Elle se demandait si il avait des problèmes....
Puis elle se mit a réfléchir sur comment elle allait le dire au reste de ses camarades... Elle se dit qu'elle attendrais la fin de sa transformation a moins que quelqu'un ne la découvre avant....

Elle entendit un bruit derrière elle, Goku était rentré dans la pièce un énorme livre poussiéreux entre les mains. Elle senti une douleur a l'endroit de la morsure, ce qu'il la fit faire une grimace.Elle s'approcha de Goku qui don le visage semblait perturbé.

Curieux ?

J'avais pour habitude d'être super curieux, et de ne laisser échapper aucune question.
Je sentais que Goku me cachait une chose. Je ne pouvait donc m'empêcher de le suivre et de savoir une partie de la vérité.

Je fermais donc mon livre et le prenais avec, puis je suivais Goku discrètement dans les couloirs.
Lorsque je vis Goku entrer dans sa chambre cela m'a parut normal, je m'avançais donc dans le couloir mais ressentis cette odeur étrangère dans la chambre de Goku ...

Trop étrange . . . Qu'arrive-t-il dans sa chambre ?

Je collais mon oreille sur la porte afin d'écouter à l'intérieur et entendis deux personnes ...
L'une était en train de respirer constamment, comme si cette personne était essouffler.
Mais vu la vitesse que Goku prenait pour aller dans sa chambre, cela devait donc être lui.
Mais j'entendis l'autre personne s'avançais vers Goku. Cette personne devait donc être marquer de cette odeur maléfique.
Je ne put attendre, je toquais donc à la porte.

Goku, Ouvre moi. Je sais que vous êtes deux dans la chambre.
La personne qui est avec toi porte une odeur assez ... Maléfique.
J'aimerais bien savoir ce qu'il s'est passer ... Avec ...

Un coup de vent arriva et une odeur connue se mélangea avec l'étrangère.

COLIMERO !
Je ... Je ne peux y croire ! Que s'est t'il arriver ?
Tu sais que je peux garder un secret !
Mais on parle d'une amie qui m'est chère. Tu sais que je tiens à vous.
Goku, répond moi !

Je ne put m'empêcher de tournée en rond, attendant une réponse de Goku ou un signe.

Je lance le livre sur le lit, tout en essayant de rester le plus naturel possible, je la regarde dans le yeux et remarque une légère grimace.

-La douleur commence à apparaître ?

Elle me signe avec la tête, je détourne le regard vers le bouquin.

-Alors ce livre disais vrai ...

Je la regarde à nouveau, avec un air plus sérieux.

-Je ne te cache rien, il va falloir être forte, de dure épreuves t'attendent pour les prochains jours avenir ...

Je la prends par les épaules pour relâcher la tension.

-... Mais ne t'inquiète pas, je serais à tes cotés quoi qu'il arrive.

Apparemment la douleur se fait de plus en plus, elle ne tient plus debout, je l'étends sur lit, il n'y a plus grand chose à faire maintenant, juste à espérer qu'elle s'en sorte sans trop de séquelles ... J'entends quelqu'un approcher puis toquer à la porte, que dois-je faire ? Maintenant que Sôbi le sais, je ne sais plus comment gérer, Colimero me tiens la main, un signe me disant de le laisser entrer, je respecte sa volonté, je déverrouille la porte et l'ouvre, avant que Sôbi ne se précipite à son chevet, je bloque le passage avec mon bras et le regarde dans le yeux.

-Comme tu dois le savoir, Colimero s'est fait mordre par un vampire, sa transformation viens tout juste de débuter, mais pour l'instant, elle souhaite ne pas le dire aux autre, par peur de leurs réaction, mais je pense que tu la comprends ...

Je souris puis reprends.

-Enfin bref, seras-tu prêt à respecter son secret jusqu'à tant qu'elle veuille le dire elle même ?

Je regarde et écoute attentivement Goku qui avait mis contre sa port et bloquant totalement l'accès afin que je puisse passer, avec son bras.
Après que Goku m'annonce la nouvelle, je garde le regarde figé dans ses yeux, ne le croyant pas vraiment. Ce qu'il avait dit au paravant vis-à-vis d'une morcure sur une personne que je connais était de l'humour.
Je ne sais répondre que.

- Je suis pret à m'engager à garder ce secret qu'elle porte. je suis pret à l'aider.

Une fois ses mots sincèrent dit. Il cache le livre emprunté à la gigantesque bibliothèque dans son sac.

- A quel stade est-elle arrivé ?

Je souris à la réponse pertinente de Sôbi, quelque chose me dit que je peux lui faire confiance et cela ne me surprend pas, j'enlève mon bras en travers de la porte et regarde vers Colimero puis le retourne vers Sôbi, qui se trouver juste en face de moi.

-La douleur vient tout juste d'apparaitre, le chemin risque d'être long et dure pour elle, tout se que nous pouvons faire, s'est d'attendre la fin, et prier qu'elle survive, seulement des cas rare ont réussi à rester en vie, mais ...

Je commence à m'enfoncer dans ma chambre, approchant prés de la fenêtre, je ferme les rideaux, la pénombre engloutit la pièce, j'allume une bougie sur le chevet, la flamme, presque aussi rouge que mes ailes, éclaire le doux visage de Colimero, dégoulinant de sueur, je nettoie délicatement son front avec un mouchoir, je m'assoie sur une chaise et tourne mon regard vers Sôbi.

-Je suis certain qu'elle s'en sortira saine et sauf, elle n'est pas du genre à abandonner pour si peu ...

Le sommeil agitait, elle fait tomber sa plume sur le coter, je lui remet en place, dans ces cheveux, et lui tien la main fermement.

-Restons à ces cotées, jusqu'à se que tout soit fini ...

SOBI :

J’entre dans la pièce écoutant et regardant la scène.
Je commence fortement à m’inquiéter pour colimero.
Je prends colimero et la dépose sur le lit.

Ok Goku, tu me fais confiance ? Si oui, alors j’aurais besoin de tout ceci.

Il prend un stylo qui traînait au sol et prend un mouchoir qui était dans sa poche.
Il marque quelque mot dessus et le tend à Goku.

Pourrais tu aller me chercher tous ces ingrédients ?
Il y’a deux plantes à chercher et de l’eau et des serviettes et ensuite c’est chimique. Tu trouveras de tout dans la pharmacie en bas pour ça.

Attend que Goku parte pour préparer Colimero a ces futurs secondes,minutes, heures et jours.

GOKU :

J'avais complètement oublié que Sôbi est un médecin hors pair, peut-être que son remède pourra apaiser sa souffrance, qui est visible à l'œil nu, je me fait pas prier, je prend le mouchoir inscris de noms indescriptible pour moi et vole jusqu'à l'infirmerie, en essayant d'être le plus discret et naturel possible.

Quelques minutes m'ont suffit pour arriver à l'infirmerie, malheureusement, les nom marquer sur le mouchoir dépasser ma connaissance linguistique, je demande de l'aide à l'infirmier de m'aider, une fois récupérer tous les ingrédients, je découle les bras charger, traversant couloir en un coup d'ailes laissant quelques plumes sur mon passage, j'arrive dans ma chambre et donne à Sôbi les élément pour son médicament qui j'espère, sera efficace.

Depuis combien de temps étais-je allongée. Mes paupières étaient closes, j'étais totalement incapable de les ouvrirent. Je ne sentais plus rien. Tout était noir. Je n'avais n'y chaud n'y froid. Puis une douleur pareil a une brulure viens se logée sur ma gorge plus précisément a l'endroit ou les crocs avaient tranché ma peau. Je lutais contre les cris, je me refusais le moindre mouvement car ils auraient déclenché mes cris et tout une crise de tortillement dut a la douleur. Une sècheresse envahis ma gorge. Serait-elle devenue en un instant un désert ?

Puis la douleur, le feu qui était centralisé dans ma gorge se rependit dans mes poumons. Là se fut comme lorsque l'on est a bout de souffle alors que la température extérieure est très largement négative. Je brulais de l'intérieur et le feu qui me consumait peut a peut se répandit jusqu'à les pieds, dans ma tête, dans mon cœur, dans mes bras, dans tout mes organes. Simultanément je brulais sur place. J'étais seule dans le noir et je brulais. Pendant de longues minutes j'essaye de m'habituait a la douleur, en vain.

Plus tard je recommencé a sentir mes pieds, mes mains. Doucement la brulure repartais, après avoir tout consumé. Elle se recentré en direction de mon cœur et là elle ne faiblissait nullement bien au contraire. A croire que toute la douleur qui avait était éparpillait dans tout mon corps se centralisé dans mon cœur. Je n'avais alors qu'une envie prendre une paire de ciseau et m'arrachai le cœur enflammé. Je ne respirait plus, le moindre souffle m'aurait arraché les plus atroces des cris. Mon rythme cardiaque de plus en plus fort, a croire que mon cœur voulais lui aussi sortir de ma poitrine, prêt a me rompre les os si il l'avait fallut. Il battait maintenant a une vitesse jamais égalée ! N'importe quel autre cœur humain battant a cette vitesse n'aurait pu existé. Puis plus rien. Mon cœur avait cessé de battre. Je m'attendais a la mort. Elle ne venait pas, je sentait encore une brulure dans ma gorge. Beaucoup moins forte qu'il y a peu mais toujours présente .

C'est alors que je me concentrais sur ce qui m'entourait .Je les entendais, tout les deux, partagés sur mon sort ,lointains,très très lointains, comme a plusieurs lieux d'ici,mais je les entendais. Leurs voix était différentes, elles avaient changées,j'y entendais des accents de chagrins mais les voix resté les mêmes pourtant elles n'étaient pas écouté de la même manière comme mieux écoutés. Dehors un cavalier approché de la cité. Dans les cuisines une odeur de poulet vient chatouillé mes narines. J'entendais aussi des battements, deux rythmes différents un légèrement plus rapide que l'autre, des battements de cœurs humains.... Un a ma droite, l'autre a ma gauche sur le quel j'étais allongée. Je sentis alors des mains qui tenait les miennes, fermement, trop fermement. Si j'avais encore était humaine ils m'aurait rompu les os avec une force pareil. J'étais parfaitement immobile. A ce moment je me rendit compte que cela fessait un bout de temps que ne je respirait plus. Insufflant machinalement une bouffée d'air je me rendis compte qu'elle ne m'étais nullement nécessaire. J'ouvris les yeux.

Les poutres au dessus de ma tête...Je voyais les moindres détails du bois. De fines particules de poussières dansé devant la lumière descendante qui filtrais par la fenêtre. Me relevant d'un bond, je me dirigeais rapidement contre le mur, trop rapidement avant même le temps que j'y pense j'étais déjà collée au mur. je me retournait vers eux troublée par ma nouvelle rapidité ....

» Recrutement de Colimero.